Coupe de France 2009-2010

Ligue 1 contre Ligue 1
Grenoble (L1) - Montpellier (L1)
Saint-Etienne (L1) - Lorient (L1)
Le Mans (L1) - Valenciennes (L1)

Ligue 1 contre Ligue 2
Monaco (L1) - Tours (L2)
Strasbourg (L2) - Lyon (L1)
Rennes (L1) - Caen (L2)

Ligue 1 contre National
Amiens (National) - Auxerre (L1)
Bordeaux (L1) - Rodez (National)
Plabennec (National) - Nice (L1)

Ligue 1 contre CFA
Colmar (CFA) - Lille (L1)
Les Herbiers (CFA) - Toulouse (L1)
Compiègne (CFA) - Lens (L1)

Ligue 1 contre CFA 2
Thiers (CFA2) - Nancy (L1)
Trélissac (CFA2) - Marseille (L1)
Saint-Louis Neuweg (CFA2) - Sochaux (L1)
Aubervilliers (CFA2) - Paris SG (L1)

Ligue 1 contre DHR
Seclin (DHR) - Boulogne (L1)

Ligue 2 contre National
Ajaccio (L2) - Cannes (National)
Vannes (L2) - Troyes (National)

Ligue 2 contre CFA
Laval (L2) - Vesoul (CFA)
Pontivy (CFA) - Brest (L2)

Ligue 2 contre DH
Lattes (DH) - Angers (L2)
Saint-Ouen l'Aumône (DH) - Sedan (L2)
Bonchamp-lès-Laval (DH) - Guingamp (L2)

National contre CFA
Pau (CFA) - Evian Thonon Gaillard (National)

National contre DSR
Versailles (DSR) - Beauvais (National)

CFA contre CFA 2
Avranches (CFA) - Saumur (CFA2)
Saint-Dizier (CFA2) - Raon l'Etape (CFA)

CFA contre DH
Quevilly (CFA) - Saint-Quentin (DH)

CFA contre PH
Marquette (PH) - Mulhouse (CFA)
La Grande Motte Pyramid (PH) - Villefranche (CFA)

CFA 2 contre DH
Chauray (DH) - Agen (CFA2)


Laurent Blanc, l'entraîneur bordelais qui affrontera Rodez en Coupe de France, a réagi à propos du tirage au sort sur le site officiel des Girondins : « Nous avons un joueur prêté à Rodez, Matthieu Saunier. Je connais très bien l'entraîneur qui était à Montpellier avec moi. Nous aurons Rodez, puis le Mans et enfin Marseille en début Janvier. Un bon programme ! Laissez nous nous reposer après (Rires)... »

Didier Deschamps n'a pas tardé à livrer sa première réaction après le tirage au sort des 32es de finale de la Coupe de France, qui a offert Trélissac, club de CFA2, comme adversaire de l'OM. «Ce sera la fête du football là-bas», a annoncé le coach olympien.

«Il faudra être attentif, même s'ils ont peu de chances. Ce serait bien pour nous de jouer samedi, a-t-il aussi prévu d'avance, même si les horaires et jours des rencontres n'ont pas encore été programmés. Il y a toujours pire comme tirage, c'est mieux que d'hériter d'une équipe de L1 d'entrée, mais je ne vais pas sauter au plafond non plus.»

Du côté de Trélissac, tout le monde se réjouit, à l'image du directeur sportif du club, Franck Autière : «On est super contents, c'est ce que voulais en tant que supporter de Marseille. Je suis allé voir l'OM au Vélodrome contre le Real Madrid et se retrouver contre eux, ça le fait. Pour l'organisation, on va essayer de faire ça à Périgueux».

L'entraîneur du club périgourdin, Bruno Steck,espère donner une bonne image de sa région :«C'est le meilleur tirage que l'on pouvait avoir. Tout le monde est content. La Dordogne est plutôt une terre de rugby, et avoir ce match va permettre au football de trouver sa place. J'ai beaucoup de joueurs issus de centres de formation qui vont avoir l'occasion de se frotter à
ceux qui ont percé. Je n'aurais pas de mal à les faire venir à
l'entraînement fin décembre!»

Quant au gardien de Trélissac,Pascal Gomes, 42 ans, ce sera l'occasion de se rappeler quelques souvenirs : «J'ai déjà joué à Marseille, avec Beauvais, en Coupe de France, on avait perdu
en prolongation et j'avais arrêté un penalty de Tony Cascarino. Pour le club de Trélissac, les gens d'ici, c'est vraiment génial». (Avec AFP)

Le tirage des 32es de finale de Coupe de France a réservé une bonne surprise à Aubervilliers (CFA2), où évolue l'ancien pro Steve Marlet. Au club de Seine-Saint-Denis, on se réjouit d'accueillir, en voisin, le PSG, comme l'explique Patrick Lopez, le vice-président : «D'abord, on voulait recevoir une L1 donc c'est super. Mais le Paris SG en plus, c'est le top ! Il n'y a que le périph' qui nous sépare. Chez nous, certains de nos joueurs, de nos dirigeants et de nos supporteurs sont des abonnés du PSG. On va discuter pour trouver un terrain car on ne peut pas jouer à Aubervilliers. Les années précédentes, pour d'autres affiches contre des pros on a joué à Saint-Ouen et Saint-Denis, donc on
va voir. On a le respect des joueurs de Paris, mais si on veut gagner la Coupe de France, il faut battre toutes les équipes de toute façon (rires). Non, notre objectif c'est surtout de faire un bon match. Mais je vous préviens: si on passe ce tour, on va au bout !»

Côté parisien, ce tirage semble satisfaire Alain Roche, directeur de la cellule de recrutement : «C'est bien, on ne va pas aller trop loin ! C'est un bon tirage, on est satisfaits. En Coupe, toutes les équipes sont motivées, et même contre une CFA2 tout peut arriver. Je sais qu'il y a Steve Marlet dans cette équipe d'Aubervilliers. Au Paris SG, on a trois compétitions à jouer et on ne va pas se priver de jouer cette Coupe à fond».

Steve Marlet, qui devait retrouver dimanche (20h45) le
PSG au Parc des Princes en 32e de finale de la Coupe de France avec son
équipe d'Aubervilliers (CFA 2), est incertain. L'ancien attaquant
international est blessé aux ischio-jambiers. « Là je suis au repos, on se décidera au dernier moment », a déclaré Marlet, bientôt 36 ans, à l'AFP.

Victime d'un oedème médullaire osseux au genou gauche, d'après l'IRM qu'il a passé jeudi, Gabriel Heinze
est très incertain pour le déplacement de l'OM à Périgueux, dimanche
(17h30), pour y affronter Trélissac (CFA 2). Le défenseur olympien
avait dû quitter ses partenaires avant la mi-temps du match amical face
à une sélection du Languedoc-Roussillon (4-1). Didier Deschamps a
également annoncé que c'est Steve Mandanda qui
gardera les cages phocéennes dimanche. Son remplaçant Elinton Andrade
sera lui aligné mercredi en Coupe de la Ligue à Saint-Etienne.




Niang et Lucho OK pour Bordeaux ?


Blessés avant la trêve, Mamadou Niang (épaule) et Lucho Gonzalez
(genou) reprendront quant à eux l'entraînement collectif dès lundi. Une
bonne nouvelle a priori en vue du choc du 17 janvier à Bordeaux.
L'attaquant Guy Gnabouyou, victime d'une entorse du genou mercredi à
Perpignan, devra pour sa part observer dix jours de repos et de soins.

La Commission de sécurité a validé jeudi la tenue du 32e de finale
de Coupe de France Trélissac-OM, au stade de Périgueux, dimanche à
20h45. Une bâche sera posée sur la pelouse jusqu'au match.

Ptin j'espére pas revivre le même cauchemard comme contre Carquefou

Touché aux ischio-jambiers, Steve Marlet a effectué
jeudi un test rassurant. L'ancien Lyonnais, qui évolue aujourd'hui en
CFA 2 à Aubervilliers, pourrait donc retrouver le PSG, dimanche en 32es
de finale de la Coupe de France. «C'est encore du 50-50. Je prendrai ma décision samedi», a indiqué à L'Equipe l'ex-international, qui fêtera ses 36 ans le jour du match.

Il joue encore Steeve Marlet

Allez Caen, si vous pouviez botté les bretons

Comme annoncé, les Sud-Américains (Henrique, Placente, Fernando,
Cavenaghi et Jussiê), rentrés de vacances ce jeudi, ne font pas partie
du groupe bordelais, qui accueille, ce samedi (20h45), Rodez (NAT) pour
le compte des 32es de finale de la Coupe de France. Marc Planus,
suspendu, Abdou Traoré (Mali), retenu par la Coupe d'Afrique des
nations, et Abdoulaye Keita, non convoqué, seront également absents. A
noter la présence dans le groupe bordelais de Paul Lasne, qui sera
prochainement prêté jusqu'à la fin de saison à Châteauroux (L2).

Le
groupe bordelais : Carrasso, Ramé - Chalmé, Ciani, Jurietti, Sané,
Trémoulinas - Diarra, Gourcuff, Plasil, Wendel, Sertic, Lasne -
Bellion, Chamakh, Gouffran, Saivet.

Pas de changement au final concernant la rencontre de Coupe de France entre Strasbourg et Lyon.
Les Lyonnais ont enfin pu décoller de St-Exupéry et se rendent donc en
Alsace. Leur arrivée est prévue à 14h00 et le match devrait se tenir
sans problème samedi soir à 20h45.

L'OL n'avait pas pu rejoindre
l'Alsace vendredi soir en raison de la fermeture de l'aéroport
strasbourgeois pour raisons météo. Lyon avait demandé un décalage de la
rencontre à dimanche après-midi.

Dix-huit joueurs ont été convoqués par Didier Deschamps pour le 32e de
finale de Coupe de France face à Trélissac (CFA2), à Périgueux dimanche
(17h30). Comme prévu, Mamadou Niang et Lucho Gonzalez qui doivent reprendre l'entraînement collectif lundi ne font pas partie des joueurs retenus. Gabriel Heinze, touché au genou gauche en amical mercredi, est également absent. Osei et N'Doumbou,
deux habituels joueurs de la réserve phocéenne, qui ont pris part à la
victoire sur la sélection du Languedoc-Roussillon (4-1), effectuent le
déplacement avec le groupe pro.

Le groupe olympien :
Mandanda, Andrade - Bonnart, Bocaly, M'Bow, Diawara, Rool, Hilton -
Cissé, Cheyrou, Abriel, Ben Arfa, Valbuena, Osei, N'Doumbou - Ayew,
Brandao, Morientes

L'entraîneur du Paris SG Antoine Kombouaré a estimé
samedi qu'il n'était «pas normal de jouer des matches à 20h45 dans ces
conditions», alors que le PSG accueille Aubervilliers (CFA2) à cette
heure tardive et par grand froid dimanche en 32e de finale de la Coupe
de France.




Êtes-vous prêt à jouer dimanche soir ?
On
se pliera aux obligations. Il y a des décideurs, nous, on est des
exécutants. On a tout fait de notre côté pour que le match ait lieu. La
pelouse du Parc a été protégée et bâchée avec un système de chauffage.
On se prépare mais ce n'est pas normal de jouer des matches à 20h45
dans ces conditions.

On vous sent un peu amer...
Ce
match devait être la fête du football francilien. Au final, il ne
devrait y avoir que 10.000 spectateurs au Parc. Si on avait joué
l'après-midi, on aurait sûrement eu plus de monde dans les tribunes. On
a tout essayé pour changer l'horaire. On ne voulait plus jouer au Parc.
Mais c'est la Fédé qui décide. Sans compter la qualité du jeu. Plus on
joue tard, plus le terrain risque d'être gelé. S'il y a une séance de
tirs au but, cela nous emmène vers minuit. Est-ce raisonnable ?

Comprenez-vous le calendrier du mois de janvier avec l'accumulation des rencontres?
Ça
fait des années qu'on se bagarre contre ça. Tous les entraîneurs
souhaitent jouer pendant la période estivale. Pourquoi ne pas jouer
tous les trois jours en août ou en septembre? Là, on entre dans une
période tellement dangereuse. On va voir s'il y aura de la casse mais
les adducteurs risquent de siffler. (AFP)

Les Bordelais ont tremblé, mais c'est devenu une habitude, les
Bordelais ont gagné. Malmené sans être toutefois vraiment inquiété, Bordeaux a battu Rodez (National)
par le plus petit des scores, samedi à Chaban-Delmas (1-0), et a donc
obtenu son billet pour les 16es de finale de la Coupe de France. Les
hommes de Laurent Blanc ont dû attendre le dernier quart d'heure pour
l'emporter, sur un penalty tout en finesse de Wendel (77e minute).
Quart de finaliste et tombeur du PSG l'an dernier, Rodez s'est bien
battu, mais a cruellement manqué de talent offensif pour bousculer les
Girondins.

Laurent Blanc (entraîneur de Bordeaux):
«On s'attendait à un match difficile dû aux conditions climatiques et
au fait qu'on est en reprise. Je suis assez satisfait du match. En
première mi-temps, on a produit du jeu même si j'aurais préféré ouvrir
le score plus tôt, mais on a fait de mauvais choix. Dans le contenu,
l'an dernier, contre Saint-Etienne, on avait énormément d'occasions de
but. Ce soir, Rodez a été plus défensif et joué son propre jeu en étant
organisé et jouant en contre. Elle avait l'intention de faire un bon
match, elle l'a fait. J'aurais aimé qu'on ouvre le score plus
rapidement pour faire des changements plus tôt. Les joueurs qui sont
sortis ne sont pas ceux qu'on avait prévus d'entrée. On a fait en sorte
de faire une reprise échelonnée. On a tout fait pour être au niveau le
17 janvier. J'espère pouvoir jouer mardi au Mans pour permettre de
donner du temps de jeu.»

Franck Rizzetto (entraîneur de Rodez):
«Mes joueurs ont fait honneur aux couleurs qu'ils portaient ce soir.
Notre public peut être fier de son équipe. Bordeaux a eu quelques
sueurs froides. Il y a penalty, il n'y a rien à dire sur cette action.
Face au très haut niveau, il est difficile d'être à la hauteur, mais on
a bien couru même si on a eu du mal à enchaîner phases offensives et
défensives. On a su poser des problèmes à cette équipe. C'est
intéressant pour la suite. Tout le monde a été encourageant. J'ai
reconnu Bordeaux dans la conservation du ballon et l'animation du jeu,
mais ce soir, il leur manquait le petit coup de rein. C'est leur
premier match après la reprise. Si on avait fait ce match dans un mois
on aurait certainement eu plus de mal.»

Ulrich Ramé (gardien de but de Bordeaux):
«Le principal était la qualification. Cela a été long à se dessiner en
raison du manque d'entraînement. On a fait beaucoup d'efforts, il a
manqué le bon geste dans les derniers mètres. On était face à une
équipe de Rodez qui a bien joué, bien défendu, ce qui a donné peu
d'occasions de but. C'est bon au niveau psychologique de bien commencer
cette demi-saison qui se présente devant nous.» (AFP)

Lyon s'est qualifié pour les 16es de finale de la Coupe de France en allant battre Strasbourg samedi,
à la Meinau (1-3). Les Lyonnais ont globalement maîtrisé une rencontre
jouée sous une température glaciale (- 4 degré) et marquée par la
beauté des quatre buts inscrits par les deux équipes. Gomis a ouvert le
score dès la 11e minute, d'une belle reprise du droit dans la lucarne.
Bastos, d'une grosse frappe du gauche dont il a le secret, a ensuite
doublé la mise. Entreprenants, les Alsaciens ont été récompensés de
leurs efforts à la 36e minute, grâce à une superbe volée du plat du
pied de Fauvergue. En seconde période, à la 72e minute, Bastos
a inscrit son premier doublé de l'année 2010, d'une astucieuse
pichenette, permettant aux siens de finir le match sans trop de
pression.

La dernière victoire à l'extérieur de l'OL remontait
au 31 octobre 2009, à Saint-Etienne (1-0), lors du derby de la 12e
journée de Ligue 1. Coup d'arrêt pour les Strasbourgeois, qui malgré
leur parcours catastrophique en Championnat, restaient sur quatre
victoires de rang à domicile, toutes compétitions confondues.

Pascal Janin (entraîneur de Strasbourg): «Nous
avons fourni un contenu intéressant. Après avoir été menés de deux buts
on a su réduire le score, nous avons réussi à mettre un peu le doute
sur les Lyonnais. Cela nous a redonné un peu de moral. En deuxième
période, on fait une faute en perdant un ballon qu'on aurait pu garder
et cela nous coûte le troisième but. C'est dommage car on aurait pu les
bousculer un peu plus longtemps mais dans le contenu, dans la
mentalité, dans l'état d'esprit, il y a plus de choses positives dans
notre match que dans beaucoup d'autres.»

Claude Puel (entraîneur de Lyon):
«Je suis satisfait car on a pu évoluer dans de bonnes conditions malgré
le temps. On a réalisé un bon match avec une très bonne entame et deux
buts magnifiques. Ensuite on s'est un peu endormi. Après le but de
Strasbourg on a reculé en laissant trop d'opportunités. En deuxième
mi-temps, il y a eu une réaction. On a repris le jeu à notre compte en
mettant le pied sur le ballon. Le troisième but est arrivé logiquement.
On entame 2010 comme il le fallait. Il faudra voir la suite mais il y a
de la qualité plus un état d'esprit positif. Strasbourg est une équipe
avec du potentiel qui peut remonter au classement.»

Nicolas Fauvergue (attaquant de Strasbourg):
«L'année débute mal car nous sommes éliminés de cette Coupe, mais
malgré tout il y a des choses positives. Nous avons affronté ces
Lyonnais dignement avec nos armes. On a réussi a se procurer des
occasions et on aurait pu faire mieux si on les avaient mises au fond.
Maintenant, c'est certain que Lyon est une grosse cylindrée. On savait
que ça allait être dur. On a perdu mais je le répète il y a des points
positifs.»

Michel Bastos (attaquant de Lyon):
«Nous sommes satisfaits ce soir pour la victoire. J'ai de la réussite
et j'ai su faire la différence qui donne la victoire à mon équipe. Ce
troisième but nous a fait souffler un peu car Strasbourg a mis une
pression en réduisant la marque en première période. On a fait trente
premières minutes intéressantes. C'est vrai qu'on a ensuite baissé de
rythme, après, avec la température c'était un peu dur mais c'est bien
de gagner. Cette victoire nous redonne confiance pour la suite.» (AFP)

Marseille a fait ce qu'il y avait a faire, l'affaire est dans le sac

Sean-Paul1709 a écrit:Marseille a fait ce qu'il y avait a faire, l'affaire est dans le sac

Ouais c'est déjà ça. Pas suivi la coupe de France vu que je me focalise sur la CAN.

Black Scofield a écrit:

Sean-Paul1709 a écrit:Marseille a fait ce qu'il y avait a faire, l'affaire est dans le sac

Ouais c'est déjà ça. Pas suivi la coupe de France vu que je me focalise sur la CAN.

Ta rien loupé, un match emmerdant, ou Marseille était a 30%, et Trélissac a bloc en défense, en gros rien de passionnant

Au terme d'une rencontre bien maîtrisée, Marseille a
décroché son billet pour les seizièmes de finale de la Coupe de France
en venant à bout de Trélissac (2-0). Le piège est évité pour la bande à
Deschamps.




Handicapé par les départs de quatre éléments à la CAN (Taiwo, Koné, Mbia, Kaboré) et les blessures de Lucho, Niang et Heinze, l'Olympique de Marseille n'est pas tombé dans le traquenard tendu par les amateurs de Trélissac,
club de CFA 2, en s'imposant (2-0) ce dimanche au stade
Francis-Rongieras de Périgueux. Bousculés par une formation aquitaine
bien en place et entreprenante, les Phocéens se sont rapidement mis à
l'abri en ouvrant le score par Ben Arfa, parti seul côté gauche, après
15 minutes de jeu. Le milieu offensif marseillais, seul face au but,
aurait même pu s'offrir un doublé peu avant la pause (37e) sur un
débordement de Brandao, le Brésilien auteur pour sa part d'une frappe
sur le montant en seconde période (75e).




Le marathon peut commencer


Très
appliqués, les Olympiens doublaient la mise par l'intermédiaire de
Benoît Cheyrou (74e) à bout portant sur un excellent service de
Valbuena, une réalisation synonyme de début de marathon pour l'OM... En
effet, si les hommes de Didier Deschamps s'imposent mercredi en Coupe
de la Ligue face à Saint-Etienne, ils enchaîneront ainsi sept
rencontres en janvier, soit un match tous les trois jours ! Après une
fin d'année 2009 difficile à digérer, Marseille, sans toutefois se
montrer irrésistible, a entamé 2010 de la meilleure des façons en
décrochant sa qualification pour les seizièmes de finale.

Dans la foulée de la qualification de l'Olympique de Marseille ce
dimanche face à Trélissac (2-0), en 32es de finale de la Coupe de
France, Didier Deschamps a exprimé sa satisfaction de ne pas avoir été piégé par une formation amateur. « L'important c'est la qualification, juge l'entraîneur phocéen au micro d'Eurosport. Quand
on joue des équipes de l'échelon inférieur, il n'y a que le boulot à
faire : se qualifier. Maintenant on va penser au prochain match. On a
pu assister à un match de football (en dépit du froid, Ndlr) c'est ça
qu'il faut retenir avec la qualification. »

Deschamps en a par ailleurs profité pour évoquer le prêt (en bonne voie) d'Alessandro Mancini sur la Canebière : « Mancini ? On verra. Je vais regarder mon téléphone voir si j'ai un message. »

Opposé aux amateurs d'Aubervilliers (CFA 2) ce dimanche, au Parc des Princes, le Paris-SG
n'a pas fait de détail en s'imposant largement devant les partenaires
de Steve Marlet (5-0). Luyindula (10e, 38e), Erding (22e), Chantôme
(64e) et Maurice (80e s.p.) se sont chargés de faire plier une
formation francilienne totalement dépassée par les événements. Grâce à
ce facile succès, les hommes d'Antoine Kombouaré ont assuré leur
passage en seizièmes de finale de la Coupe de France, où ils
affronteront l'Evian Thonon Gaillard, actuel dauphin de National, le 23
janvier prochain, à domicile.

Au terme d'une rencontre facilement maîtrisé devant Aubervilliers
(5-0), ce dimanche, en 32es de finale de la Coupe de France,
l'entraîneur du Paris-SG Antoine Kombouaré (Photo Presse-Sports) a particulièrement apprécié l'état d'esprit de son équipe à l'abord de cette rencontre. « Ce soir (dimanche), j'ai beaucoup insisté sur le fait qu'il fallait respecter l'équipe d'Aubervilliers, souligne l'ancien technicien Valenciennois. On
a abordé le match avec beaucoup d'humilité. J'ai horreur des mecs qui
se la racontent. On a été sérieux, rigoureux et on a fait le boulot
mais ce n'était pas évident. »

Et d'insister : «
C'était le match piège par excellence. On a fait abstraction de
l'environnement. Je tiens à féliciter mes joueurs parce qu'on a
respecté jusqu'au bout cette équipe d'Aubervilliers. Le plan c'était de
bien aborder cette année 2010. Là, on marque cinq buts, on n'en prend
pas et c'est la meilleure façon de préparer le match de Coupe de la
Ligue, mercredi (contre Guingamp, Ndlr). On a trois matches en six
jours avec des adversaires à notre portée, mais il faut qu'on soit
capable de jouer à un niveau élevé et avec un jeu collectif qui nous
amène des solutions offensives. » (Avec AFP)